Carole témoigne : sécheresse intime à la ménopause

une femme la cinquantaine blonde porte une chemise blance et regarde l'objectif pour illustrer l'article sécheresse intime à la menopause, témoignage de Carole

On en parle peu, pourtant la sécheresse intime à la ménopause peut s’inviter partout : la douche qui pique, le jean qui frotte, le câlin qu’on désire mais qu’on redoute.

Ici, pas de détour : Carole, 51 ans, raconte simplement ce qu’elle a vécu — la gêne, le couple qui se crispe, puis les gestes qui soulagent. Entre ses mots, on glisse des repères concrets et sourcés pour aider chacune à comprendre, choisir, et retrouver du confort sans culpabilité.

Un entretien vrai, pensé pour que vous puissiez vous reconnaître… et repartir avec des solutions tenables au quotidien.

Mettre enfin un mot sur ce qui pique : la sécheresse intime, à la ménopause

une femme avec une chemise blanche et les jambes nues se tient les mains croisées sur son intimité pour illustrer l'article sécheresse intime à la menopause, témoignage de Carole

MyZenMénopause : 

Avant de prononcer le mot sécheresse, quelles sensations avez-vous remarqué au quotidien (sous la douche, en marchant, pendant les journées chargées) ? Et qu’est-ce qui vous a fait passer de “je minimise” à “je nomme ce que je vis” — fatigue, gêne, peur de la douleur, regard de l’autre ?

Carole :

Ça a commencé par des détails que j’ai minimisés : l’eau tiède qui pique sous la douche, cette sensation de papier qui frotte en marchant, et l’appréhension au moment des câlins. Le désir était là, mais la douleur passait devant. 

Pendant des semaines, j’ai dit “je suis claquée”, “demain”. Le déclic ? Écrire noir sur blanc dans mon agenda : « Appeler pour parler de sécheresse, douleur, envies pressantes ». Mettre le mot sécheresse m’a déjà allégée.

Nommer la sécheresse intime à la ménopause a transformé ma gêne en décision : si ce n’était pas “dans ma tête”, je pouvais chercher de l’aide. Restait à franchir la porte du cabinet.

💡Astuce MyZenMénopause :

Pendant 7 jours, notez Confort 0–10 / Brûlure 0–10, ce qui aggrave (👖 pantalon serré, 🏃‍♀️ sport, 🧴 savon parfumé) et ce qui apaise (🚿 eau tiède, 💧 hydratant). Arriver avec ces notes accélère la consultation.

Sheryl A. Kingsberg, PhD (sexologue clinicienne, The Menopause Society), explique que beaucoup de femmes finissent par croire que les difficultés sexuelles font simplement partie de l’âge. Pourtant, on peut agir : il existe des solutions efficaces et sûres, et en parler avec un·e professionnel·le de santé ouvre vraiment des portes. 

Source (communiqué The Menopause Society avec citations de S. A. Kingsberg) : “NAMS issues first-ever position statement on female sexual dysfunction,” 15 juin 2022.

Le soir où j’ai choisi la douceur plutôt que de serrer les dents

MyZenMénopause : 

Beaucoup décrivent un “moment charnière” qui change la trajectoire. Dans votre cas, qu’est-ce qui a pesé le plus : la douleur pendant les rapports, l’inconfort en journée, la crainte d’abîmer la relation, ou le besoin de vous respecter physiquement ? Comment avez-vous géré l’émotion (culpabilité, appréhension) juste avant d’appeler pour un rendez-vous ?

Carole :

Une scène toute simple : un dîner, sa main sur ma cuisse, et mon corps qui se crispait d’avance. J’ai vu sa déception, je me suis entendue dire “pas ce soir”, alors que j’en avais envie. Dans la salle de bain, je me suis regardée et j’ai pensé : « J’ai droit à des moments doux, pas subis ».

Le lendemain, j’ai pris rendez-vous. Un peu de honte, surtout le sentiment de reprendre la main. Une fois la décision prise, j’avais besoin d’une explication claire pour cesser de culpabiliser. C’est ce que m’a offert la consultation.

💡Phrases MyZenMénopause prêtes à l’emploi :

« C’est sec et ça peut me faire mal. J’ai besoin qu’on ralentisse, qu’on lubrifie, et de pouvoir m’arrêter si ça pique. »

« Entendre “ça se traite” m’a rendu de l’air »

Un médecin femme en blouse blanche s'adresse a sa patiente blonde pour illustrer l'article sécheresse intime à la menopause, témoignage de Carole

MyZenMénopause : 

Pendant la consultation, de quoi aviez-vous le plus besoin : comprendre le mécanisme (déficit œstrogénique, muqueuse plus fine), être rassurée sur le pronostic, clarifier les options (local, non hormonal), ou planifier un suivi ? Quelles questions avez-vous posées (effets, durée, tolérance) avant d’accepter une prescription ?

Carole :

J’ai tout dit : brûlures, douleur pendant les rapports, parfois des urgences pour uriner. Ma gynéco a expliqué posément que la baisse d’œstrogènes amincit la muqueuse, la rend plus sèche et réactive.

Elle a posé les mots : syndrome génito-urinaire de la ménopause. Puis on a passé en revue les options, sans me bousculer : elle m’a prescrit des œstrogènes vaginaux en cure d’attaque, avec un schéma d’entretien si l’amélioration se confirmait. On a prévu une réévaluation.

⚠️ Attention “prescription” ⚠️  :

Les œstrogènes vaginaux sont un traitement médical : ils se prescrivent par un médecin après évaluation, avec suivi. En cas d’antécédent de cancer du sein ou de facteurs de risque particuliers, la décision se prend au cas par cas avec vos soignants référents.

« Mon plan : peu de choses, mais je m’y tiens »

du lubrifiant translucide sur un fond beige pour illustrer l'article sécheresse intime à la menopause, témoignage de Carole

MyZenMénopause : 

Pour rendre un plan tenable, on évite les routines “usine à gaz”. Quels critères vous ont aidée à choisir (simplicité, tolérance, accessibilité), et comment avez-vous décidé de garder ou abandonner un produit (collant, parfumé, trop “chauffant”) ?

Carole :

On a choisi d’aller du plus local au plus simple :

🧑‍⚕️ Œstrogènes vaginaux — prescrits par ma gynécologue — en cure d’attaque (quelques semaines), puis entretienléger si la gêne restait contrôlée. Objectif : réhydrater la muqueuse et faire baisser la brûlure.

💧 Hydratant vulvo-vaginal 2 soirs/semaine. J’ai pris un lubrifiant avec formule courte, pH proche de la zone intime.

🧴 Lubrifiant à chaque rapport. J’en ai testé trois : le premier collait, le deuxième chauffait (désagréable), le troisième glissait longtemps sans parfum ; c’est devenu mon assurance confort.

🚿 Hygiène apaisée : eau tiède, pas de gel parfumé, rinçage après piscine/sport, culottes coton les jours de frottements.

💬 Parler avant le moment intime : si “ça tire”, on ralentit ou on s’arrête. Résultat : moins de peur, plus de sécurité.

Reste la question que tout le monde pose : au bout de combien de temps le quotidien devient plus léger ? J’ai tenu un journal précis.

💡Astuce MyZenMénopause pour rendre le plan vivable 📝 :

Deux soirs fixes pour l’hydratant (📅 alarme douce) → la régularité fait la différence.

Le lubrifiant à portée de main (🧴 sur la table de nuit) → on dédramatise le geste.

Trois mots-clés en tête : glisse – temps – stop ✋.

Des essais et synthèses montrent que les œstrogènes vaginaux peuvent réduire urgence/fréquence et améliorer des paramètres urinaires chez des femmes post-ménopausées, au-delà du seul confort vaginal.

Source : ACOG Clinical Consensus 2021 (prise en charge des symptômes urogénitaux, y compris après cancer du sein).

« Six semaines pour sentir une vraie bascule »

MyZenMénopause : 

On sait que les améliorations sont souvent progressives et pas parfaitement linéaires. Pouvez-vous décrire, semaine par semaine, les petits indicateurs qui vous ont montré que vous alliez dans la bonne direction (douche, jean, sport, sommeil, câlins) ?

Carole : 

On a choisi d’aller du plus local au plus simple :

🚿 Semaine 1. J’étais maladroite avec les applications, mais dès la 3ᵉ–4ᵉ journée, la douche piquait moins. Au travail et dans les transports, deux culottes ultra-douces m’ont sauvé la mise les jours sensibles.

🌤️ Semaine 2. J’ai vécu deux journées entières sans penser à la zone intime. En marchant longtemps, l’inconfort revenait moins vite qu’avant. Le soir, on a discuté du “comment” (lent, lubrifié, droit de s’arrêter) avant le “quand” : rien que prévoir ensemble m’a enlevé un nœud au ventre.

🧴 Semaine 3. Premier câlin avec le lubrifiant posé ensemble, lumière tamisée. Ne pas se cacher d’en mettre a fait tomber un mur. Je me suis recentrée sur les sensations agréables au lieu d’anticiper la brûlure.

📉 Semaine 4. La douleur est passée d’environ 7/10 à 3–4/10. Je dormais mieux : fini les réveils-picotements. J’ai remis un jean sans me sentir “rappeuse” au moindre pas.

🚴‍♀️ Semaine 5. Reprise du sport sans redouter “l’après”. Sur le vélo, pas d’irritation ; après la séance, un rinçage à l’eau tiède a suffi. Avec mon partenaire, nos moments sont devenus plus lents, plus parlés ; l’envie revenait quand le stress baissait.

💗 Semaine 6. Un rapport sans douleur. Pas une performance : un moment serein et choisi. J’ai ressenti de l’envie pendant, pas “malgré”. C’est là que j’ai compris que le désir n’avait pas disparu : il se cachait derrière la douleur depuis des mois.

💡 Douleur en recul : rapport = sécurité :

Quand la douleur se retire, le cerveau réassocie « rapport = sécurité possible ». À partir de là, les ajustements deviennent naturels — dans le couple comme au quotidien.

« Le désir est revenu quand la douleur a cessé de commander »

deux mains qui se tiennent avec complicité pour illustrer l'article sécheresse intime à la menopause, témoignage de Carole

MyZenMénopause : 

Dans votre couple, qu’est-ce qui a le plus soutenu le retour du désir à la ménopause : la sécurité (pas de douleur), le rythme (plus lent), la communication (dire tôt ce qui aide), ou un mélange des trois ? Avez-vous noté aussi des changements côté vessie(urgence/fréquence) avec l’amélioration locale ?

Carole : 

Le lubrifiant est devenu mon outil, pas un aveu d’échec. Ma vessie s’est calmée au fil des semaines. Surtout, parler en amont a changé nos soirées : on est moins pressés, plus connectés ; j’ai la sensation de choisir, au lieu de “tenir”.

✨ 3 micro-gestes qui changent tout :

😌 5 cycles de respiration 4–6 avant un câlin (4 s inspire / 6 s expire) → le bassin se détend .

🧵 Textiles doux les jours “frottements” (trajets, sport) .

🚿 Rinçage à l’eau tiède après piscine/transpiration → moins d’irritants.

« Les phrases qui ont tout changé »

MyZenMénopause : 

Beaucoup redoutent de “casser l’ambiance” ou d’être mal comprises. Quelles phrases courtes vous ont aidée avec vous-même, avec votre partenaire et avec la/le soignant·e ? Et à quel moment les dire pour que ça ouvre au lieu de bloquer ?

Carole : 

Avant d’oser, je me suis préparée avec quatre phrases simples. Elles m’ont servi de boussole : les dire au bon moment m’a aidée à rester calme, claire… et à me faire comprendre :

🪞 À moi-même : « Mon corps n’est pas cassé, il a changé ; je peux adapter mes gestes. »

🤝 À mon partenaire : « C’est sec et ça peut me faire mal. Aide-moi à ce que ce soit doux : on prend le temps, on lubrifie, on arrête si ça pique. »

🧑‍⚕️ Au cabinet : « Tel produit me brûle. » On a simplifié, et c’était mieux.

🫂 À une amie : « Moi aussi. » Et l’isolement a fondu.

« Voilà ce que je dirais à une amie »

MyZenMénopause : 

Si une amie te confie “je me reconnais dans ton histoire”, quel premier geste concret lui proposes-tu dans les 24–48 heures, avant toute autre chose ?

Carole : 

Commence par mettre des mots simples sur ce que tu ressens : sécheresse, brûlure, douleur aux rapports, envies pressantes. Écris-les. Pendant une semaine, note chaque soir Confort 0–10 / Brûlure 0–10 et ce qui aggrave ou apaise. Ça te donne une photo claire de ton quotidien — et une base utile pour la suite.

MyZenMénopause : 

Pour préparer la consultation, quels éléments concrets lui suggères-tu de rassembler (exemples de situations, horaires, produits qui piquent, vêtements qui frottent), et comment présenter tout ça sans se perdre ?

Carole : 

Prends rendez-vous. Arrive avec tes observations : ça oriente tout de suite la discussion vers du concret. Selon ton profil, on pourra te prescrire un traitement local (œstrogènes vaginaux en cure d’attaque, puis entretien si ça va mieux). C’est un traitement médical : on décide avec le soignant, on réévalue. Et s’il y a des antécédents particuliers, on prend le temps d’en parler au cas par cas.

MyZenMénopause : 

Au quotidien, comment l’aider à tenir une routine sans culpabilité ni usines à gaz (rappels, organisation, place des produits, rythme des essais) ?

Carole : 

Vise la simplicité qui tient :

🧑‍⚕️ Un local prescrit si besoin, pour réhydrater et calmer la brûlure.
💧 Un hydratant régulier (deux soirs/semaine, avec un rappel discret).
🧴 Un lubrifiant à chaque rapport, posé à deux et à vue (ça dédramatise).
📆 Garde ce trio 4 à 8 semaines, puis ajuste : texture du lubrifiant, fréquence de l’hydratant, rythme des câlins.

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Info pratique, pas un avis médical. En cas de douleur intense, saignements ou symptômes inhabituels, consultez un professionnel.

MyZenMénopause : 

Et les jours moins bien : comment s’y prendre pour ne pas tout remettre en question, et quand recontacter le médecin ?

Carole : 

Zéro culpabilité. On revient aux gestes simples (hydratant, eau tiède, textiles doux), on ralentit, on parle. On recontacte le médecin si la douleur revient, si quelque chose brûle ou saigne, ou si la gêne ne baisse pas malgré la routine : parfois, il suffit d’ajuster la fréquence ou de changer de texture.

MyZenMénopause : 

Un mot pour la route — ce que tu dirais pour lui donner l’élan ?

Carole : 

Tu n’as rien à prouver. Tu as juste à te sentir bien. Un mot posé, un rendez-vous, un geste simple — et déjà, tu respires mieux.

Pour finir en douceur

Une femme la cinquantaine très souriante blonde habillée en blanc boit dans un verre au soleil

On n’a pas besoin d’être “forte” en serrant les dents : on a besoin d’être bien. Si vous vous retrouvez dans l’histoire de Carole, rappelez-vous que la sécheresse intime à la ménopause n’est ni honteuse ni inéluctable.

Un mot posé, une consultation (et, si nécessaire, un traitement prescrit), un geste simple… et l’horizon s’éclaircit.

Surtout : osez partager votre expérience dans nos articles témoignages — votre voix peut libérer la parole et aider d’autres femmes à retrouver du confort. On avance ensemble, à votre rythme.

Sécheresse intime en ménopause - La FAQ

Comment ouvrir le dialogue avec mon/ma partenaire quand la sécheresse intime à la ménopause me gêne ?

Choisissez un moment calme, hors de la chambre. Dites simplement : « À la ménopause c’est sec et parfois douloureux. Allons doucement, mettons du lubrifiant, et on s’arrête si ça tire. » L’objectif : sécurité et complicité.

Sécheresse vulvo-vaginale de ménopause : quels professionnels consulter en premier ?

Médecin traitant, gynécologue ou sage-femme. Selon les besoins : sexologue si la dyspareunie pèse sur la relation, kiné du périnée pour l’inconfort pelvien, pharmacien pour guider vers hydratants et lubrifiants adaptés.

En consultation pour sécheresse vaginale liée à la ménopause : quoi dire sans se disperser ?

Arrivez avec une semaine d’observations : échelle Confort/Brûlure (0–10), déclencheurs et gestes qui apaisent. Demandez à aborder le GSM et les options locales.

Comment formuler la demande d’un traitement local quand la dyspareunie est installée à la ménopause ?

Phrase claire : « La sécheresse vulvo-vaginale me fait mal. Peut-on envisager un traitement local et prévoir une réévaluation prochaine ? » Décision partagée selon votre profil.

La sécheresse intime à la ménopause au quotidien : le lubrifiant suffit-il ?

Le lubrifiant aide pendant les rapports. Si la gêne est présente tous les jours (tiraillements, brûlure, urgences urinaires du GSM), discutez d’un traitement local prescrit et, si besoin, d’alternatives non hormonales. Souvent, le combo gagnant est : local + hydratant régulier + lubrifiant.

Parler de dyspareunie à la ménopause sans casser l’ambiance, c’est possible ?

Oui : anticipez. « Ce soir on prend le temps, on lubrifie dès le début, et on stoppe si ça pique. » Garder le lubrifiant visible normalise le geste et diminue l’appréhension liée à la sécheresse vaginale.

Sécheresse vulvo-vaginale et antécédents médicaux (ex. cancer du sein) : quelle démarche ?

Signalez vos antécédents d’emblée. Les choix pour la sécheresse intime à la ménopause se font au cas par cas : hydratants et lubrifiant d’abord, puis discussion d’un traitement local ou d’options non hormonales, avec l’équipe référente.

Amélioration de la sécheresse intime de ménopause : quel délai espérer ?

Avec une routine tenue, des premiers mieux apparaissent souvent entre 2 et 6 semaines. Planifiez une réévaluation à 4–8 semaines pour ajuster texture du lubrifiant, fréquence d’hydratant et schéma local.

Un produit “brûle” ma muqueuse à la ménopause : comment le dire au soignant ?

Allez droit au fait : « Ce produit me brûle. Peut-on simplifier ou changer de texture ? » Notez quand, combien et combien de temps dure l’irritation : ces détails orientent la suite.

Quelles habitudes maison “ménopause-friendly” pour limiter la sécheresse vulvo-vaginale ?

Gardez le lubrifiant à portée de main, fixez deux soirs par semaine pour l’hydratant (rappel discret) et pratiquez la respiration 4-6 avant un câlin. Cadre annoncé : lent, lubrifié, stop possible — utile contre la dyspareunie.

🌿 La sécheresse intime à la ménopause n’est qu’un morceau du puzzle. Pour beaucoup, s’ajoutent des nuits hachées, une peau plus réactive, du stress qui monte vite ou des kilos capricieux. Sur MyZenMenopause, chaque espace propose des gestes concrets pour avancer : Sommeil & détente, Bien manger, Bouger, Stress & émotions, Vie intime, Beauté & peau, sans oublier nos outils interactifs. Explorez, piochez ce qui vous parle et construisez votre routine — à votre rythme.

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La Team MyZenMenopause

Chez MyZenMenopause, on parle de la ménopause sans aucun tabou : des réponses claires, utiles et accessibles. Nos contenus reposent sur des recherches scientifiques, les recommandations d’experts et les retours de femmes, pour rendre cette étape plus simple et plus sereine à vivre.

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